Denier de l'Eglise : pourquoi est-il vital ?

Ici votre don en ligne, totalement sécurisé.

Le denier est vital car c’est la première ressource de nos paroisses. Il représente plus de 50% de la générosité des fidèles. Les autres ressources sont les quêtes, les offrandes de messe, les offrandes à l’occasion des baptêmes, mariages ou obsèques, les dons particuliers, les souscriptions pour des travaux, les kermesses, les legs.

Le denier permet de payer nos prêtres et le salaire des laïcs. Les autres charges (bâtiments, frais de fonctionnement divers…) doivent être couvertes par les autres ressources.

Rappelons que l’Église ne vit que de dons. Elle ne reçoit aucune aide ni de l’État, ni du Vatican, l’État ne paye pas les prêtres. Par ailleurs, dans notre diocèse,

Le défi est triple :

  • Susciter de nouveaux donateurs en ayant l’audace d’inviter nos proches à donner, en expliquant qu’il s’agit, avant même la générosité, de la responsabilité de tous les baptisés.
  • Sensibiliser les jeunes générations, en les initiant au beau geste du denier, pour qu’elles permettent ainsi à l’Église de continuer à assurer sa présence au cœur de nos vies.
  • Encourager le prélèvement automatique qui représente des avantages pour tous : donateurs et paroisses. Celui-ci permet d’être plus généreux (un don mensuel modeste aboutit à un don significatif sur une année) et assure une trésorerie plus régulière pour les paroisses : les curés ont alors une meilleure visibilité sur leurs ressources pour bâtir des projets. Aujourd’hui seulement 4% des donateurs de notre diocèse ont choisi cette formule.

La transparence de l’utilisation des ressources est assurée par la publication des comptes des paroisses dans les feuilles d’informations hebdomadaires, la présentation annuelle des comptes du diocèse à l’évêché pour les curés et les conseils économiques paroissiaux (comptes également publiés depuis 3 ans sur le site www.journal-officiel.gouv.fr/association ) et la certification sans réserve par les commissaires aux comptes.

« Chacun doit donner comme il l’a décidé dans son cœur, sans regret et sans contrainte ; car Dieu aime celui qui donne joyeusement. » (2 Co 9,7)

Anne Charruau, économe diocésaine

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